NOTES
« On dit de lui pour cette raison qu'il apprivoisait les tigres [et les lions pleins de rage.] » (Horace, Art poétique ou Epitre aux Pisons, v. 393.) « Les hommes vivaient dans les forêts, quand Orphée, prêtre et interprète des dieux, les détourna du carnage et de leur vile nourriture. Aussi dit-on qu'il apprivoisa les tigres et les lions farouches, et qu'Amphion, fondateur de la citadelle thébaine, faisait mouvoir les pierres et, par les charmes de sa voix, les conduisait où il voulait. » (Oeuvres d'Horace, traduction nouvelle par F. Collet, Paris, Lefèvre, 1845, p. 446; cette édition se trouvait à Hauteville House, mais entre d'autres et Hugo, qui connaissait Horace par coeur, n'avait besoin d'aucune.)